Avatar de James Cameron
avec San Worthington, Sigourney Weaver, Zoe Saldana, Michelle Rodriguez, Giovanni Ribisi, Stephen Lang, ...
Le buzz annoncé et les quelques images vues ne m’avais pas converti loin de là ! J’en avais déjà imaginé un début de critiques comparant les Na’vi avec les Schtroumpfs. Encore raté …
Mais analysons un peu l’histoire : un marine (Jake Scully) immobilisé dans un fauteuil roulant se voit accorder une nouvelle chance de marcher tout en continuant à servir dans l’armée en s’envolant pour Pandora, où il pourra entrer dans la peau d’un avatar. L’avatar est un Na’vi, population locale de Pandora (les bonhommes bleus), contrôlé à distance par un humain pour faciliter les déplacements humanoïdes sur une Pandora à l’atmoshpère hostile.
Jake va aussi servir à infiltrer les Na’vi pour trouver le moyen de s’en débarasser car ils habitent au-dessus d’un gisement d’un minerai rarissime nécessaire pour la terre. Tout irait pour le mieux, si il n’y avait pas Neytiri, séduisante Na’vi …
Les a priori ont parfois la vie dure, et le besoin de critiquer la nouveauté est souvent facile. C’est dans cet état d’esprit pourtant que je suis allé voir Avatar.
Après un moment, je réfléchissais à savoir ce que j’allais pouvoir écrire et si j’aimais le film … je regarde l’heure, deux heures que le film a démarré !
La surprise ! A force de vouloir en dire du mal, on a du mal à accepter qu’en fait … c’est fichtrement bien foutu ! L’action est présente, les effets spéciaux sont bien plus fluides que ce que l’on voit depuis un petit temps et surtout la faune et la flore de Pandora sont extraordinaires. Un très bon moment donc.
Mais blockbhuster hollywoodien oblige, nous ne sommes pas à l’abri de quelques défauts. Cameron n’évite pas les grosses ficelles dramatiques, le happy end facile, le scénario parfois limite, …
Concernant Sam Worthington, la « nouvelle star ». Il joue bien, certes, mais je n’arrive pas à imprimer son visage, même après avoir vu deux de ces films en moins d’une semaine, un comble.
Donc, Avatar, un film excellent, les retrouvailles de Sigourney et James sont un bonheur, on décerne la palme à la faune et la flore de Pandora, mais coup de marketing à part, elle est où la grosse révolution cinématographique ?
Note ? 7/10
CinéSmars.
Les DVD's :
La BOF :
Les livres :
Les jeux :
avec San Worthington, Sigourney Weaver, Zoe Saldana, Michelle Rodriguez, Giovanni Ribisi, Stephen Lang, ...
Le buzz annoncé et les quelques images vues ne m’avais pas converti loin de là ! J’en avais déjà imaginé un début de critiques comparant les Na’vi avec les Schtroumpfs. Encore raté …
Mais analysons un peu l’histoire : un marine (Jake Scully) immobilisé dans un fauteuil roulant se voit accorder une nouvelle chance de marcher tout en continuant à servir dans l’armée en s’envolant pour Pandora, où il pourra entrer dans la peau d’un avatar. L’avatar est un Na’vi, population locale de Pandora (les bonhommes bleus), contrôlé à distance par un humain pour faciliter les déplacements humanoïdes sur une Pandora à l’atmoshpère hostile.
Jake va aussi servir à infiltrer les Na’vi pour trouver le moyen de s’en débarasser car ils habitent au-dessus d’un gisement d’un minerai rarissime nécessaire pour la terre. Tout irait pour le mieux, si il n’y avait pas Neytiri, séduisante Na’vi …
Les a priori ont parfois la vie dure, et le besoin de critiquer la nouveauté est souvent facile. C’est dans cet état d’esprit pourtant que je suis allé voir Avatar.
Après un moment, je réfléchissais à savoir ce que j’allais pouvoir écrire et si j’aimais le film … je regarde l’heure, deux heures que le film a démarré !
La surprise ! A force de vouloir en dire du mal, on a du mal à accepter qu’en fait … c’est fichtrement bien foutu ! L’action est présente, les effets spéciaux sont bien plus fluides que ce que l’on voit depuis un petit temps et surtout la faune et la flore de Pandora sont extraordinaires. Un très bon moment donc.
Mais blockbhuster hollywoodien oblige, nous ne sommes pas à l’abri de quelques défauts. Cameron n’évite pas les grosses ficelles dramatiques, le happy end facile, le scénario parfois limite, …
Concernant Sam Worthington, la « nouvelle star ». Il joue bien, certes, mais je n’arrive pas à imprimer son visage, même après avoir vu deux de ces films en moins d’une semaine, un comble.
Donc, Avatar, un film excellent, les retrouvailles de Sigourney et James sont un bonheur, on décerne la palme à la faune et la flore de Pandora, mais coup de marketing à part, elle est où la grosse révolution cinématographique ?
Note ? 7/10
CinéSmars.
Les DVD's :
La BOF :
Les livres :
Les jeux :
Dernière édition par CinéSmars le Jeu 21 Jan - 12:13, édité 1 fois