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    FIFA Mons 2009

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    FIFA Mons 2009 Empty FIFA Mons 2009

    Message par CinéSmars Mar 19 Jan - 12:34

    FIFA Mons 2009 Fifa

    Quand le hainaut se fait romantique ...


    En ce début d’année 2009, je rempile à nouveau pour le FIFA ! Non pas le jeu de football si populaire mais le Festival International du Film d’Amour à Mons.

    On a eu pour lebourlingueurdu.net la chance de visionner quantités de films comme La Fanfare, Bienvenue chez les Ch’tis, Nos Souvenirs brûlés, L’Amour au temps de la Choléra, Le Merveilleux Magasin de Mr Magorium, Le Premier Cri, … pour ne citer que les plus connus.

    Pour votre plus grand bonheur, nous allons redoubler d’efforts et couvrir encore plus intensément le festival. Plus de films, plus de soirées thématiques du Festival, des interviews, la vie au nouveau ciné-village qui ouvrira ses portes cette année au Lotto Mons Expo à proximité de l’Imagix où la plupart des films seront projetés.
    Tout ceci autant que possible au jour le jour !

    Nous ambitionnerons encore une fois, par l’intermédiaire des pages du site, de vous faire découvrir un Festival de cinéma belge sous toutes ses coutures, de vous donner envie des films projetés bien souvent en avant-première, et peut-être qui sait, de venir faire un tour au Festival lui-même, cette année ou les années suivantes.

    A très vite autour d’un bon film,
    Pour le lebourlingueurdu.net, Loïc.

    Toutes les infos sur http://www.fifa-mons.be !
    (des billets ou pass sont encore disponible n’hésitez pas !)



    Chronique Vendredi 13 février

    Vendredi, 07h00, prêt à embarquer vers la gare (ma partenaire n’arrive que lundi, en attendant c’est le train !). J’ai eu confirmation de l’accréditation presse mercredi et hier j’ai appris que la première séance à destination de la presse était à 09h00. Moi qui croyais voir Espion(s) avec la jolie Géraldine Pailhas (oui mesdames, aussi le beau Guillaume Canet), vlà t’il pas qu’on nous programme une autre avant-première, La première étoile d’un certain Lucien Jean-Baptiste dont il me souvient vaguement avoir vu le visage dans Antilles sur Seine de Pascal Légitimus ! Etonnament j’aperçois par contre en second rôle des gens comme Bernadette Lafont, Michel Jonasz (l’est pas chanteur celui-là ?) ou encore Edouard Montoute (mais si : le flic black dans Taxi !). Oui je sais j’ai des références ! Tout du moins ça a l’air d’être une comédie et pour ça je ne suis pas difficile !

    07h34, train en direction de Mons, sac sous la main, lecture du journal Métro pour passer le temps, faut bien. Arrivé à Mons, vendredi 13, première poisse, je remarque que le pantalon que j’ai enfilé au matin, mal réveillé, bien sûr, était un pantalon que j’avais mis sur le côté pour le jeter ! Bravo les trous pour une première impression, enfin bon passons car bientôt j’allais me rendre compte que la poisse continue avec ces satanés bus gratuits qui ne passent pas. En avant l’usure des chaussures.

    Imagix, 08h59, juste à temps, bonjour madame l’attachée de presse du festival ! Première séance, on est trois ! Les gens n’ont pas dû lire le mail arrivé la veille. Je retrouve un vieux briscard du festival (il les a tous faits, il a le pass car c’est lui qui a dessiné le Cœur de Cristal, le prix remis pendant le festival !). Et à l’autre bout le responsable du festival (André Ceuterick). Voyons le bon côté des choses, on ne va pas se battre pour les places ! Noir ; le film commence, tiens Guillaume Canet, la programmation aurait-elle changé ? Non, erreur de bobine, la poisse continue, un vendredi 13 serait-il maudit ? Re-noir, le film commence, haaaaaa … !

    Critiques des deux films :

    • La première étoile de Lucien Jean-Baptiste

    • Espion(s) de Nicolas Saada


    Chronique Samedi 14 février

    On est le 14 février, et je ne vous oublie pas, même si n’étant pas en forme, je suis resté chez moi, pas de déplacement. Oh non ne pleurez pas, demain j’y retourne et il reste encore jusqu’à la fin de la semaine !

    Comment ça vous ne pleurez pas ? Non mais revenez ! Ha, merci ! J’ai eu peur ! Bon je reprend donc oui effectivement deuxième jour du festival et je n’y suis pas.
    Mais demain ça annonce du lourd ! Tout d’abord Aide-toi, le ciel t’aidera, comédie de François Dupeyron présenté pour la compétition internationale. Ensuite, en avant-première, La légende des Desperaux par le studio à qui ont doit Roger Rabbit, Wallace et Gromit, Souris City, …

    Attention, à partir de Lundi je ne serais plus seul, Adeline me rejoint dans l’aventure.
    En attendant pour me faire pardonner mon absence du jour, je vous ai dégotté par derrière les fagots, un film que j’ai en DVD, et qui est présenté dans le cadre de la rétrospective « Troubles et subversions dans le cinéma européen », Camping Cosmos du belge Jan Bucquoy.

    • Camping Cosmos de Jan Bucquoy


    Chronique Lundi 16 février

    Toutes mes excuses pour dimanche. La poisse continue. Ma partenaire, Adeline est toujours malade, mais se remet petit à petit !

    Lundi fut quand même une journée productive !
    Deux films programmés, Amateurs de Gabriel Velasquez et Fair Play de Lionel Bailliu.

    J’arrive devant l’Imagix une minute avant le début du premier film (Amateurs), et là surprise, cette année, on passe à la caisse. Non ils ne font pas payer les journalistes mais on reçoit un ticket gratuit pour entrer.
    Ca semble un peu se compliquer la vie pour pas grand-chose … Ensuite première visite du ciné-village, je m’attendais à plus grand, mais l’exposition sur le cinéma est très belle et intéressante.
    Mais je ne me m’attarde pas, j’ai un deuxième film sur le feu, Fair Play en présence de Jérémie Renier qui doit recevoir un hommage du FIFA. Tout un programme !

    C’était trop beau pour être vrai. On attend depuis 10 minutes que ça commence et toujours rien, ni les acteurs, ni le délégué général ne sont là pour l’hommage. Une demi-heure, Jérémie Renier est apparu faire un coucou, avec Gaspard Ulliel et un producteur : Pascal Judelewicz. Ils nous annoncent que pour combler le retard (le délégué général est toujours en discussion au ciné-village avec la troupe de comédiens de la nouvelle série belge A tort ou à raison avec Alexandra Vandernoot, Marianne Basler et Bernard Yerlès), ils vont nous projeter en exclusivité mondiale, un extrait d’un film en phase de montage avec Jérémie Renier en vedette. Film de la réalisatrice néo-zélandaise Niki Caro : Vintner’s Luck, histoire d’un viticulteur dans la France du XIXème siècle flirtant avec le profane et le sacré, cherchant à composer le parfait millésime.
    Nous voyons dans la scène projetée Renier et Vera Farmiga. Renier tente d’apprendre à Farmiga à bien goûter le vin et pour l’aider, comparer la dégustation du vin avec le toucher, l’odeur et le goût de ses mains.

    Une heure après le début prévu du film, André Ceuterick, délégué général du festival est déjà arrivé, il a interviewé Jérémie Renier sur ses choix de films, sur le choix de choisir Fair Play comme film à projeter pour son hommage, lui a rendu hommage et remis un cœur de cristal gravé à son nom (le cœur de cristal est la récompense remise par le FIFA). Emouvant, beaucoup de flashs photos et le film commence …

    • Amateurs de Gabriel Velazquez

    • Fair Play de Lionel Bailliu


    Chronique Mardi 17 février

    Mardi des patates !

    A part le fait que j’ai mangé des patates à midi, ça n’a aucun rapport. Passons alors directement aux choses sérieuses …

    Sortie familiale, je sors le paternel avec moi, il choisit bien : un film en avant-première avec Olivier Gourmet et Miou-Miou, Pour un fils de Alix de Maistre. Le film est pointé comme séance en présence de l’équipe du film.
    Je me réjouis de voir Miou-Miou ou Olivier Gourmet mais on apprendra plus tard qu’il n’y aura que la réalisatrice et son producteur. Les deux acteurs hommes principaux sont dans la salle, mais on ne verra pas la couleur de leur pull.

    Après le retard académique régulier, le présentateur annonce Charlotte Joulia, jeune réalisatrice française, venu présenté son court-métrage en première partie du film tant attendu : En attendant que la pluie cesse …
    En ressort, un sympathique petit court métrage avec entre autre Bernard Yerlès, Monsieur téléfilms de France 2 et Laetitia Reva dans le rôle féminin.
    Le pitch ? Un homme et une femme se retrouve sous un porche à cause d’une averse abondante. Le film nous montre ce qu’il peut se passer en 8 minutes autour de ces deux personnes, avec un final simple mais surprenant.
    Tout frais, tout beau, tourné dans la ville de Mons, un sympathique court-métrage, en attendant impatiemment la suite d’une carrière somme toute prometteuse de Charlotte Joulia.

    Après citations des sponsors du film Pour un fils, DragonsFilms et One-World Images, et ces nombreux invités dans la salle, le film commence …

    • Pour un fils d’Alix de Maistre


    Chronique Mercredi 18 février

    Mercredi ravioli !

    Bon d’accord j’arrête de vous casser les pieds avec les menus du jour…
    Grande nouvelle : Adeline, ma partenaire de chronique et à la vie est arrivée. Mais poisse encore ! Elle a du retard ; les trains font encore des siennes.

    Après moultes et moultes péripéties épiques, le programme se met en marche et on lorgnera ce soir vers la compétition internationale.
    Film italien d’Anna Negri : Riprendimi.

    Quel soulagement de ne plus être tout seul ! Mais autre inconvénient, se mettre d’accord sur le film à aller voir !
    Finalement Riprendimi fut un bon choix, ce film, quoiqu’on en pense à de la gueule. Mais Adeline l’exprimera bien mieux dans sa critique !
    Tiens, détail amusant, Brad Pitt a flashé sur ce film au Festival du Film Indépendant de Sundance et a même évoqué la possibilité d’en faire un remake.

    Noir, film, lumière, discussions et départ pour le Lotto Mons Expo où se situe le ciné-village pour la soirée à thème italienne.
    Grosse déception, deux drapeaux plantés sur le mur et un orchestre qui joue et puis, un grand vide. Il manque de chaleur, de vie à cette thématique festive.
    On reprend vite le chemin des vainqueurs : vers le dodo !
    Une grosse journée nous attend demain !

    Loïc et Adeline, pour LeBourlingueurdu.net

    • Reprendimi d’Anna Negri


    Chronique Jeudi 19 février


    Jeudi...
    Déjà bientôt la fin du Festival...

    Adeline est là ; c'est agréable d'être moins seul pour le visionnage et les critiques !

    Petite présentation d'usage est de rigueur, mais qui sommes-nous ?
    Commençons par moi :
    Loïc, généralement surnommé Coluche (une vague ressemblance physique).
    Fonctionnaire dans l'administration fédérale de 23 ans, passionné de cinéma, de théâtre, de littérature et d'histoire.
    J'ai commencé à chroniquer pour le Bourlingueur au BIFFF 2007 et j'adore ça ! Adeline, étudiante, maîtrise de chimie-physique en poche, femme active dans l'associatif, surtout dans AEGEE, association prônant l'Europe.
    Scientifique de formation, touche-à-tout, s'intéresse aussi au côté littéraire des choses, littérature, cinéma,...
    Ma compagne à la vie aussi, elle débute dans la chronique cinématographique ! A vous de juger à la lecture !

    Pour ce jeudi, trois grosses étapes !
    Premièrement, Comme Une Etoile dans la nuit (poisse oblige, on rate le début !), deuxièmement, la compétition des courts-métrages belges et troisièmement, en avant-première, The Fall, de Tarsem Singh (le réalisateur de The Cell avec Jenifer Lopez et surtout film parrainé par Spike Jonze et David Fincher !).

    • Comme Une Etoile dans la nuit

    • Compétitions des courts métrages belges

    • The Fall




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